Les cheveux électriques
COMMENT ÉVITER D’AVOIR DE L’ÉLECTRICITÉ STATIQUE DANS LES CHEVEUX ?
L’hiver, quand l’air intérieur est plus sec et que les pulls plus douillets font leur grand retour, il arrive que nos cheveux deviennent « électriques » !
POURQUOI CE PHÉNOMÈNE ?
L’hiver, l’air extérieur est froid, souvent sec. L’air intérieur chauffé est lui aussi très sec, cette différence de température et l’air sec ont pour effet de dessécher la kératine présente dans nos cheveux. Chargés d’électricité statique, ils sont attirés par les objets de charge électrique opposée qui les approchent.
COMMENT Y REMÉDIER ?
HYDRATEZ VOS CHEVEUX
L’électricité statique est due à la déshydratation de la fibre capillaire, en hydratant en profondeur votre chevelure, vous atténuerez efficacement l’effet électrique. L’idéal est d’utiliser des produits hydratants et nourrissants :
- Shampoing hydratant pour cheveux secs.
- Masque nourrissant.
- Bi-phase hydratant sans rinçage, à utiliser sur cheveux secs ou humides.
- Sérum pointes, pour les cheveux longs.
Mais attention, ne lavez pas vos cheveux trop souvent !
HUMIDIFIEZ L’AIR
Une petite coupelle d’eau disposée à proximité du radiateur permettra d’humidifier votre air intérieur.
ÉVITEZ CERTAINES MATIÈRES
Les vêtements en matières synthétiques, spécialement l’acrylique sont particulièrement conducteurs d’électricité.
UTILISEZ DES PRODUITS DE COIFFAGE
- Le spray Hairbody OSIS+ de Schwarzkopf à vaporiser sur cheveux humides égalise la porosité et procure un effet anti-statique.
- Un petit voile de laque sur les cheveux ou la brosse permettra à votre crinière de restée disciplinée.
- Une goutte de sérum pointes sur les longueurs et pointes permettra d’alourdir un peu la fibre, tout en préservant l’hydratation de vos cheveux.
MON SECRET NATUREL
Pour enlever rapidement l’électricité statique de vos cheveux, vous pouvez passer vos mains, humidifiées à l’aide d’un bi-phase dans votre chevelure.
Attention, ne pas utiliser d’eau, car mouiller régulièrement ses cheveux conduit à leur déshydratation.
